Don't talk about it yet.

( Voici un délir de rôleplay... )

Ce matin là, je n'avais aucunement l'intension de rester cloîtrer une minute de plus à rien faire. '' L'aventure m'appèles '' qu'ils disent. J'en avais mare du quotidien, mare d'Avare et de ses charôgnards. Cette ville mérites trop bien son nom. L'argent... L'économie... Le profit... Les gens se précipitent tels de vrais vautours sur tout ce qui est d'un métal jaune. LE précieux métal. Un métal, qui, pourtant n'a aucune propriété. Il est beau, certes, mais encore? Bref... Cette place n'étais pas faite pour moi. Non. Ma place, je le savais depuis toujours, résidais dans... Eh bien... le monde. Ainsi, je me levai, saisis mon sac où j'avais placé tout ce qui pouvais m'être utile - et quand je dis tout, je dis bien TOUT - puis je descendis les marches de cette vieille maison crasseuse. Le décord était navrant. Toiles, poussières, moisissures, bois pourris et autre matières dont l'ordeur flétrissais toute narine qui avais le courage de renifler l'endroit. Bref un habitacle nâvrant - mais pas autant que la vie que j'y menais...

Le problème, dans le voyage, c'est qu'il faut s'y déplacer...

J'avais bloquer tout. Je n'entendais rien, ne voyais rien. Je mettais un pas devant l'autre, et j'avançai en parcourant ce chemin par habitude. La cacaphonie de la ville me dégoutes. Profondément. C'est à se demander pourquoi je n'avais jamais quitter l'endroit auparavant...

Eh bien... J'avais mes raisons...

Deux, en fait.

J'avais deux raisons. Madeline et Arielle. Je n'ai aucune conscience de ce qu'est l'am... A... A quoi? Bref... Ou du moins, je n'en ai plus. On me l'as enlever... Le fait est que, il fut un temps où, cette maison, correctement rengée, propre et coquette, me plaisais bien. Ce temps n'étais pas si lointain d'ailleurs... Encore hier, je m'y plaisais. Non. Nous nous y plaisions... Mais comme dans toute belle histoire d'amour, une tierce personne se devais d'imposer son grain de sel dans cette immense jarre de sucre que nous avions formés. Un rêve douillais dans laquelle une parcelle cauchemardesque est apparue. Cette parcelle à détuit ma vie.

M'enfin, pas en entier. J'erre en ce moment dans ce qui reste.
D'ailleurs, je m'en suis mieux tirer que je ne l'aurais cru. J'ai vécu toute la douleur, toute la tristesse, toute la haine... J'ai vécu ce désir intense d'aller les rejoindre, sur le champs. Mais à quelque part... Les émotions m'ont complètement lâchées. J'avais déjà entendu parler du phénomène. Lors d'émotions extrèmement intenses, le cerveau humain bloques tout. Ne ressens plus rien. C'est un méchanisme de défense stupide. Très stupide. Mais fonctionnel. M'enfin assez fonctionnel pour bloquer la majorité des...

Bref, je divague.

L'air frais de l'extérieur des murs de la ville et le parfum des plaines en été. Voilà. C'est ici que je veux vivres. Dans ce monde sauvage. Celui des hommes ne m'intéresses plus. Les hommes sont avares. Les hommes sont jaloux.

Voilà. Ces deux qualificatifs, à eux seuls, sont une raison d'abandonner les hommes. Combinées... Eh bien... Vous saisissez?

Oh... Honte sur moi! J'ai.... Totalement oublié de me présenter. Désolé. Je me nommes Raziel. J'ai 20 ans. J'ai les cheveux longs, noirs et les yeux bleus azure. Je crois qu'il s'agis là d'une déformation génétique, ou pas. Mais mes pupilles sont bien trop pâles... Au centre en tout cas. Puis que le contour de l'iris est d'un bleu très foncé et que... Bref un dégradé dans une pupille, c'est pas très commun... Et je ne suis ni gros, ni musclé, ni maigre, ni... Bref, juste, un homme bien banal. Banal est un mot que j'affectionne particulèrement. Il me décrit bien. Il décrit bien ma vie. Il décrit bien. Outre peut-être mon dos. Mon dos à quelque chose de pas banal... M'enfin, je crois... Une cicatrice et... non, je n'ai pas envie d'en parler. Et...
Et...
Je ne saurai quoi rajouter...

( L'homme, dénommé Raziel, ne s'étais pas rendu compte qu'il marchais toujours. Continuant de bloquer l'extérieur, il avançais, lentement, en ligne droite. Il avait quitter la route depuis un bon moment, déjà. Avar étais loin derrière. Avec elle, gisais les souvenirs d'une nuit. Une nuit où tout avais changer. Tout.

L'avarice et l'envie.

La colère et l'orgueil.

Le meurtre.

Il est dans la nature de l'homme d'en vouloir toujours plus... )

Le matin céda place à l'avant-midi. Et les plaines s'étendaient toujours devant Raziel. Maintenant loin de mon ancien '' Chez moi '', je pouvais dormir, enfin, partout où je le voulais. Et cet arbre me sembla parfait...

'' L'humanité cours au désespoir. Les gens sont fous. Je n'ai plus confiance en ma propre râce... Et je m'excuses à ça place pour toutes les autres qui nous voient nous propager, impuissants et résignés. Je m'excuse profondément... Pardonnez-nous...''

Et Raziel s'enssoupit, paisiblement...


À quelques kilomètres de là... Une sombre silhouette se faufilais habilement à travers les arbres. Ne faisant point de bruit, l'ombre se déplaçai rapidement en direction des plaines. C'était une femme. On la traquait. Haletant, elle parcouru péniblement les derniers mètres de boisé pour atteindre les plaines. Le soleil sembla disparètre derrière l'horizon. Cela l'aveugla partiellement, mais elle perdais déjà trop de sang et devait trouver un refuge. Seulement Avar étais déjà à une journée de marche, et le plus proche village ne tolèrerais probablement pas une personne de son espèce... Soudain, elle se surpris entrain de courir de plus belle, une nouvelle énergie se manifestais en elle. Suivant son instinc, elle accouru vers un arbre dans le pré. Mais la nouvelle énergie s'estompa de si tôt. Elle parcouru les derniers mètres avant de voir une silhouette adossée à l'arbre. Elle cracha un liquide rougeâtre, puis, le goût du sang se manifesta. Enfin, elle s'allonga, sa main droite tendue vers l'inconnu.

... Tout était noir...

Le grand homme s'aprocha de la porte, il pouvais entendre, et presque sentir, l'agitation de l'autre côté. Il s'arrêta, et soupiras.

- Ouvrez la porte...
- NON! PARTEZ!! JE N'AI RIEN À VOUS DIRE!

On entendis le bruit de plusieurs vérous se fermer, puis le son de la lourde barre se déposer. Il se barricadais...

- Ouvrez la porte et rendez vous...
- PAS SANS UN MANDAT! J'EXIGE DE VOIR UN MANDAT!!

Il soufflais, paniquais. Haletant, il s'adossa à la porte... Le Géant, de l'autre côté, soupira, encore. Puis recula, puis décocha un coup de poing en direction de la pauvre porte de bois, qui céda sous la violence du coup. Les copeaux volaient dans tous les sens. Le coup étais si puissant qu'il défonça non seulement la porte, mais la barre aussi, ne laissant que les charnières en place, supportants une porte invisible. Le barricadé avait sauter sur le côté juste à temps pour éviter de justesse l'impact du poing dans sa nuque. Quoique entre ça, et un vol planné avec une porte...

- C'EST UN OUTRAG...
- Dernière sommation. Rendez-vous.
- Il n'en est pas ques...!

... Le choc fut si violent que l'homme se souleva de terre, encore, et alla s'écraser sur l'autre mur, qui étais pourtant environs... Une dizaine de mètre?! Le géant d'ébène saisis le corps inerte d'une main puis se dirigea vers les cartiers de l'ordre, soupirant.

- Pourquoi faut toujours qu'ils en fassent autant? Se rendre est pourtant tellement plus siiiiiiiiiiiiiimple...